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Université du lab - Les circuits courts : une solution de long terme ?

Le 17 nov. 2022

Les circuits courts, une solution de long terme ? L'événement est organisé par le lab recherche environnement.

L’autoconsommation d’énergie, l’agriculture urbaine, le réemploi : différentes solutions de proximité permettent de réduire les impacts environnementaux. Dans quel contexte et à quelles conditions développer ce modèle de chaîne de valeur ? Comment garantir son efficacité et pérennité ? Comment en assurer la traçabilité ?

Introduite par Xavier Huillard, l’Université apportera des éléments de réponse et des retours d’expérience avec un panel de chercheurs et opérationnels : Charlotte Roux (Mines Paris PSL), Maxime Varin (SunMind - VINCI Concessions), Christine Aubry (AgroParisTech), David Ernest (VINCI Facilities), Ambroise Lachat (Ecole nationale des ponts et chaussées), Florent Bosse-Platière (VINCI Construction), Hélène Staller (Cardem – VINCI Construction), Noé Basch (Mobius Réemploi).

Une visite de l’archipel de VINCI et un moment convivial autour d’un cocktail suivront l’événement.

 

S'inscrire pour participer en présentiel ou en ligne.

 

  • Ambroise Lachat est doctorant au laboratoire Navier de l’École. Son projet de thèse porte sur la modélisation environnementale du réemploi et recyclage des matériaux et structures dans le bâtiment et les travaux publics. Ses recherches reposent sur la caractérisation physique d’éléments de structures existants afin d’envisager leur réemploi et sur l’évaluation environnementale du réemploi via la méthode de l’analyse du cycle de vie. Il est d’autant plus opportun de s’intéresser au bâti existant que celui-ci représente un pool important de matière. La thèse vise à montrer que l’on peut rendre circulaire le fruit d’une économie linéaire.

  • Rayane Al-Amirdache est doctorante du Laboratoire Ville Mobilité et Transport. Dans le cadre de ses travaux de thèse, elle étudie la répartition des coûts de transport supportés par les ménages en région parisienne, en fonction du niveau de revenu et du lieu de résidence, et l’impact de ces couts sur l’accès à la mobilité décarbonée. Ces chiffres illustrent les inégalités d’accès à la mobilité décarbonée, inégalités qui influencent le comportement des usagers et doivent être prises encore compte dans les politiques de transports vouées à la décarbonation.